Le Blog De Papy-Bougnat

  • : Lespassionsdepapybougnat
  • : Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule Bonne route & merci pour votre visite
  • Contact

Le Blog De Papy-Bougnat

  • Papy-bougnat
  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule 
Bonne route & merci pour votre visite
  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour ! Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule Bonne route & merci pour votre visite

Traducteur/Translate/übersetzen/Traducir.

Traducteur Google “translate”

 

 

 

Il est très ... Exactement

 

 

 

             

 

 

 

 

A L'affiche..

La culture Ne s'hérite pas, Elle se conquiert. 

[André Malraux]

********** 

 

Actu du jour...

 

 Passion Palombe

palombe-.08.07.JPG

A chacun sa toile

P7316215

 

     

 

 

Articles Récents

  • Un regard vers le passé ............
    Il y a 100 ans, Étienne Œhmichen devenait le premier homme à parcourir un circuit d'un kilomètre en hélicoptère . Le premier hélicoptère capable de parcourir un kilomètre en changeant de direction fut inventé d'Étienne Œhmichen, ce pionnier de l'aéronautique...
  • Réflexion du samedi .........
    Une question d'équilibre Après milles et une discussions entre personnes qui prennent le temps de converser, d’échanger ou de parler tout simplement de tout ce que nous propose cette nouvelle société dans laquelle il nous semble que nous n’avons plus...
  • Tradition oblige.........
    1 ier Mai ; "Retour sur La petite histoire d’une tradition, de la Rome antique au régime de Vichy." Des racines qui remontent à l’Antiquité Savuiez-vous que cette habitude annuelle remonte de très loin . Dans la Rome antique, déjà, on célébrait la floraison...
  • Les mots & leurs origine........
    Dans la catégorie origine des mots voyons aujourd'hui celui de ; Pêche Melba (D’après « Souvenirs inédits : 75 ans au service de l’art culinaire », paru en 1985) À la fin du XIXe siècle, Auguste Escoffier, qui dirige alors les cuisines de l’hôtel Savoy...
  • Le billet du dimanche
    C'est un homme qui croise un de ses copains dans la rue : - Tiens, Mathieu, ça va ? - Ben, figure-toi que ma belle-mère est morte la semaine dernière... - Oh mince ! Qu'est-ce qu'elle avait ? - Bof, trois fois rien : une table, un buffet... Moi j'adore...

Attention ! Passion Palombe...

1ier.nov.2010--12-.JPG 

 

 

C'est ici que ça se passe ............

Au mois d'octobre de chaque Année

 

IMGP0227.jpg

Tient ! 

IL y a une Palombière par ici .........?

m.1.pylone.jpg

privilège

​​CONTACT:

 

 

 
 

       

24 avril 2018 2 24 /04 /avril /2018 09:06

L’oignon fait la force………….

( un slogan très connu dans notre hexagone ! )

 

 

À la base de nombreuses recettes à travers le globe, l'oignon est essentiel à notre quotidien. Pour les réticentes qui hésitent à en peler les couches, séchez vos larmes et apprenez-en un peu plus sur les bienfaits de ce légume aux propriétés "épatantes !

 

" il peut être à la fois prestigieux pour notre santé , mais aussi du côté nutritif avoir de véritables valeurs nutritionnelles "

Commençons par les valeurs nutritionnelles

Comme tous les légumes, l'oignon est indispensable à tous régimes amaigrissants. Avec 40 calories pour 100 grammes, il peut se consommer sans modération. Contenant du sucre (près de 9 grammes pour 100 grammes), les patients diabétiques feront attention au moment de le consommer. Riche en eau (90 %), l'oignon en cuisson a tendance à "réduire".

L'oignon est idéal au quotidien, mais veillez toutefois à son mode de préparation qui peut le rendre plus riche en matières grasses.

Tout comme l'ail, dont il est de la même famille, l'oignon est une source indéniable de sel de sodium et de potassium qui contribuent à la dissolution de l'acide urique, ralentissant ainsi les infections éventuelles. Antioxydant, le manganèse contenu dans l'oignon aide à la protection contre les radicaux libres responsables de certains cancers et du vieillissement des tissus. Riche en vitamine B6, il est indispensable à la formation des neurotransmetteurs et participe à la formation des globules rouges. Source de vitamine C, l'oignon protège des infections, aide à la cicatrisation et au regain d'énergie.

Il existe différentes espèces d'oignons qui se choisissent en fonction de la recette désirée. Pour des cuissons longues et confites, préférez l'oignon jaune. Le plus piquant des oignons est idéal pour vos ragoûts en cuisson longue comme le bourguignon ou la daube. Il est aussi parfait pour la réalisation d'un chutney ou d'une compotée pour la pissaladière, par exemple.

Crus, choisissez les oignons rouges : plus doux et sucrés, utilisez-les en salades ou dans vos hamburgers. Les oignons blancs ou cébettes se croquent tout simplement trempés dans du sel. Enfin, les petits oignons grelots se préparent en conserves : marinés au vinaigre, avec du laurier et des graines de moutarde, dévorez-les au moment de l'apéro !

Ces bienfaits sur la santé............

Cet aliment au goût relevé et à l’odeur forte est connu pour améliorer la circulation du sang, car comme la pomme et le thé, il renferme une grande quantité de quercitrine. Il contient également de la silice, une substance qui aide à prévenir le vieillissement prématuré des veines et des artères ainsi que la thrombose.

L’oignon est également l’allié idéal pour réduire le taux de cholestérol dans le sang et des études récentes ont pu démontrer qu’il avait un effet protecteur, notamment contre le cancer de l’estomac et de l’intestin. 

De nombreuses recherches ont conclu que le fait de consommer beaucoup de fruits et de légumes diminuait le risque de contracter des maladies cardiovasculaires ainsi que certaines maladies chroniques dont le cancer. Cela vaut surtout pour les légumes appartement à la famille des alliacées : les échalotes, la ciboulette, l’oignon, etc. Des chercheurs suisses et italiens ont établi un lien clair entre la consommation d’oignons et une incidence moindre de différents types de cancers. Par exemple, le fait de consommer entre une et sept portions d’oignon par semaine diminueraient fortement les risques de cancer du pharynx et de l’œsophage.

Ces légumes sont également riches en antioxydants, composés essentiels pour protéger les cellules du corps des dommages provoqués par les radicaux libres qui sont des molécules très réactives, impliquées dans le développement de certains cancers, des maladies cardiovasculaires et de maladies liées au vieillissement.

Le conseil utile ...........

Vous savez pourquoi vous pleurez quand vous pelez un oignon ou que vous le cuisinez ? Lorsque vous défaites le bulbe (le cœur de l’oignon), la molécule responsable des propriétés lacrymales du légume est libérée. Pour éviter de pleurer, sachez que cette substance est extrêmement soluble dans l’eau et que vous pouvez l’éliminer de manière simple et efficace si vous mettez d’abord l’oignon au frais ou si vous le pelez et rincez sous l’eau.

La petite astuce...........

L’idée de mettre des oignons dans vos chaussettes vous horripile et il se peut même que vous doutiez fortement des résultats de cette astuce. Cependant, elle est un puissant remède naturel capable de soulager les symptômes du rhume et de la grippe. Comment donc agit-elle ?

Selon la médecine traditionnelle chinoise, la plante de vos pieds est l’une des parties les plus puissantes de votre corps. Elle constitue des points d’accès directs à vos organes internes via ce qu’on appelle des méridiens. Ceux-ci sont le chemin qui mène aux organes et au système nerveux.

Lorsque vous placez des morceaux d’oignon dans vos chaussettes et que vous les enfilez pour la nuit, l’acide phosphorique provenant de ce légume pénètre le corps à travers les méridiens et purifie le sang. Ce processus vous rend plus solide et permet à votre système immunitaire de combattre plus facilement les infections et les virus. 

La plupart des personnes qui ont essayé cette technique ne jurent désormais que par elle. L’autre aspect plutôt extraordinaire est que cette astuce ne comporte aucun effet secondaire.

Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

Repost0
19 avril 2018 4 19 /04 /avril /2018 06:57

Santé : Attention à vos yeux devant les écrans de portables ou d’ordinateurs

 

Le travail et les activités de loisirs sur ordinateur (ou également sur portable, tablette…) sollicitent beaucoup les yeux et il est nécessaire de bien veiller à une bonne installation de son poste de travail ainsi qu’au rythme de travail à observer pour éviter la sécheresse oculaire et/ou les maux de tête qui peuvent aller jusqu'à une sécheresse persistante, une pathologie qu'on appelle le syndrome sec.

Ce syndrome sec est d’ailleurs une pathologie beaucoup plus fréquente qu’on ne le croît, quand on sait que près de 10 % des adolescents en sont atteints (notamment à cause de la lecture trop intensive de vidéos sur les portables) et qu’elle concerne 20 % des plus de 70 ans. Cette sécheresse peut aussi un révélateur d’affections beaucoup plus graves comme la maladie de Gougerot-Sjögren.

 LE BON USAGE DES ECRANS

L’écran doit être perpendiculaire à la fenêtre pour réduire les reflets et les différences de luminosité (et en privilégiant toujours un éclairage modéré dans un espace clos), espacé de 50 à 70 cm des yeux et situé plus bas que la ligne d'horizon de l’œil de sorte à toujours regarder vers le bas. De la sorte, les paupières recouvrent une partie de l’œil, réduisant ainsi l'exposition du globe oculaire à l'air ambiant. Enfin, évitez de lire ou d’écrire sur des fonds sombres et préférez les fonds clairs et une grosse taille de caractère. Le même type de précautions doit être pris si on utilise intensément son smartphone, surtout quand on regarde des vidéos, comme le font notamment beaucoup de jeunes enfants.

Il est en effet important de préciser que le taux de clignement des yeux chute fortement lors de la lecture devant un écran : sa cadence tombe assez rapidement, et, sans même s'en rendre compte, de 3 à 4 fois par minute contre 15 en moyenne normalement, ce qui fragilise davantage la qualité du film lacrymal. Chaque clignement permet de redistribuer une nouvelle couche de larme à la surface des yeux et d'éliminer par le fait même la vieille couche. D'où l'importance de prendre le temps de cligner des yeux volontairement et de faire des pauses hors écran régulièrement d’au moins 5 minutes chaque heure ou de 15 minutes au bout de deux heures.

LE syndrome sec

https://www.agoravox.fr/local/cache-vignettes/L230xH192/secheresse_des_yeux-4cf18.jpg Ses manifestations, liées à une altération quantitative ou qualitative des larmes, sont très variables : sensation de corps étranger, de brûlures, rougeur oculaire, sensibilité à la lumière vive, trouble visuel intermittent ou même larmoiement excessif paradoxal. Dans certains cas, on constate une difficulté à mouvoir les paupières ou à ouvrir spontanément les yeux le matin au réveil. Ce déficit en larmes expose même à la survenue d’une kérato- conjonctivite lésant la cornée ou pire de la complication cornéenne la plus sévère, des ulcères cornéens susceptibles de se perforer.

Quand un syndrome sec persiste ou s'aggrave et se traduit aussi par un assèchement d’autres secrétions (de la bouche, de la peau, des bronches), il faut consulter non seulement un ophtalmologue mais aussi souvent un autre spécialiste, notamment en médecine interne, pour connaître les causes exactes du problème qui peut être dû aussi à une pathologie beaucoup plus grave.

Les causes du syndrome sec sont en effet multiples. Outre l’usage trop intensif des écrans, on citera d’abord par ordre d’importance l’atrophie des glandes du fait de l’âge puis les médicaments : plus de 400 spécialités pharmaceutiques sont concernées (dont l’atropine, la morphine, les antihistaminiques, certains antidépresseurs et neuroleptiques, les antiparkinsoniens, les diurétiques,...). Une modification ou un rééquilibrage du traitement du traitement suffit souvent pour réduire de façon supportable ou résoudre cette gêne.

Il trouve ensuite son origine dans le tabac, la carence oestrogénique post ménopausique, un diabète décompensé, les états de stress ou de dépression ou encore dans des situations attendues telles la radiothérapie cervico-faciale. Ailleurs, il sera un des symptômes d’une maladie comme la sarcoïdose, l’amylose, une infection par les virus de l’hépatite C ou du SIDA… ou il révélera encore l’hémochromatose et le scorbut. Enfin, le Syndrome sec peut se situer souvent au cœur du Syndrome de Gougerot-Sjögren, de façon tellement emblématique d’ailleurs qu’on fait souvent improprement l’amalgame entre les deux.

La maladie de Gougerot-Sjögren fait partie des pathologies auto-immunes (où les cellules chargées normalement de la défense de l’organisme se retournent contre lui). Il concerne essentiellement le sexe féminin dans une proportion de 9 femmes atteintes pour seulement un homme. Souvent, il se complique ou s’associe à de nombreux autres troubles auto-immuns : polyarthrite rhumatoïde, lupus, affections de la thyroïde, du foie, du sang...

Notez : Les informations de ce billet sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

Repost0
11 avril 2018 3 11 /04 /avril /2018 10:19

Mangez de bons légumes.........

 

"Analyse des meilleurs et des pires"

Il ne fait pas de doute que le meilleur moyen d'améliorer votre santé est de manger beaucoup de légumes frais, de bonne qualité, si possible bios, cultivés localement et consommés en majorité crus ou peu cuits.

Je suis fermement convaincu qu'il s'agit là d'un facteur clé pour mener une vie active et épanouissante. D'un point de vue nutritionnel, c'est la chose qui aura le plus d'impact sur votre santé et votre longévité, surtout si vous consommez vos légumes sous forme de jus extraits par vos propres soins.

Toutefois, tous les légumes ne sont pas nés égaux, et nos actuels agriculteurs et commerçants ont souvent des pratiques franchement mystérieuses :

 

Comment font-ils ces légumes ??

 

J'ai toujours eu mon lopin de terre sur lequel je cultive des légumes. Mais ayant de nombreux d'enfants, ma femme et moi achetons aussi beaucoup de légumes au supermarché.

Bien que nous choisissions, autant que notre budget nous le permette, des légumes bios, je suis néanmoins toujours stupéfait par la différence entre les légumes de mon potager et ceux du magasin :

  • calibre, forme, aspect : les légumes qui sortent de mon potager sont, à maturation, de toutes les formes et de toutes les tailles. Certaines carottes sont énormes, d'autres sont minuscules, beaucoup ont deux ou trois racines. Même après avoir été lavées à grande eau, elles conservent toujours des traces de terre et des petites radicelles un peu partout. Je ne comprends tout simplement pas comment « ils » font pour nous sortir des carottes toutes pareilles, régulières et luisantes comme si elles étaient en plastique. La même chose vaut bien sûr pour les tomates, les pommes de terre, les pommes, enfin tout ;
  • conservation : sans exagérer, mes légumes, une fois arrachés, ne se conservent que quelques jours, voire quelques heures, y compris si je les mets immédiatement au frigo. Salades, épinards et blettes deviennent tout raplapla presque aussitôt cueillis. Je n'imagine même pas quel aspect ils auraient en arrivant si je les mettais dans un cageot, puis dans un camion pour l'Allemagne ou l'Angleterre ; au supermarché, les légumes sont souvent impeccables et, de retour à la maison, se conservent des jours entiers sans pratiquement changer d'aspect. Cela relève du miracle...

goût, odeur, texture : comment font-ils pour nous produire des légumes aussi insipides ? Je n'ai pas la moindre idée de ce que je devrais faire pour parvenir à supprimer l'odeur de mes tomates, à diminuer le goût de mes carottes, ou donner à mes pommes de terre et à mes salades une texture aussi aqueuse que celles du supermarché. Il me semble que je ne fais que mettre mes graines dans la terre, désherber, arroser... et attendre que la nature fasse son travail. Pourquoi les légumes qui sortent de terre chez moi sont-ils systématiquement incomparablement meilleurs que ceux du commerce ?? Même les légumes bios n'arrivent en général pas à la cheville des miens.

J'étais tellement intrigué par ce phénomène que j'ai décidé de faire le test systématiquement, avec les légumes dont je trouvais des graines ou des plants en jardinerie.

Le résultat est que des choux de Bruxelles au persil en passant par les asperges, la rhubarbe, les poivrons, l'oignon, les aubergines et les melons, etc., je n'ai pas trouvé un seul fruit ou légume du jardin qui n'était pas immédiatement reconnaissable à son goût, à sa texture et à son odeur supérieurs.

Tout le monde n'ayant pas la possibilité de cultiver son lopin, les yeux et le nez nous sont d'un grand secours au supermarché. Un légume non bio mais qui a un bel aspect et une bonne odeur est généralement préférable à un légume bio sans odeur.

La fraîcheur est aussi un point décisif car de nombreux légumes comme le céleri branche, les betteraves rouges, les asperges, le concombre, perdent rapidement leurs nutriments après avoir été cueillis. Il peut donc arriver un point où un légume issu de l'agriculture conventionnelle mais bien frais devient préférable à un légume bio vieilli.

 

Et les pesticides ?

  • Bien choisir ses légumes, c'est aussi éviter le risque d'absorber :
  • des pesticides ;
  • des engrais chimiques ;
  • des OGMs ;
  • des aliments ionisés ou irradiés ;
  • des métaux lourds.
  • Selon l'Agence de Protection de l'Environnement, 60 % des herbicides, 90 % des fongicides et 30 % des insecticides sont cancérigènes, et la plupart sont également mauvais pour le système nerveux.

    Ces produits ont également été liés à la maladie de Parkinson, à des fausses couches, à des problèmes de fertilité, de neurotoxicité, de perturbation du système hormonal (perturbateurs endocriniens).

    Se tourner vers les légumes bios, qui n'offrent toutefois jamais une garantie totale, semble relever du plus pur bon sens. Mais le problème budgétaire fait que peu d'entre nous peuvent se nourrir intégralement de produits bios.

    Heureusement, tous les légumes ne sont pas aussi risqués.

Les légumes les plus et les moins contaminés

 

Les fruits et légumes les plus contaminés en pesticides, et que vous avez donc le plus intérêt à acheter bios, sont :

Les pêches, les pommes, le céleri, les cerises, les poires, les nectarines, la laitue, les épinards, les fraises, les raisins, les pommes de terre et les poivrons.

Les fruits et légumes les moins chargés en pesticides sont :

Les brocolis, les choux, les oignons, les petits pois (surgelés), le maïs doux, les asperges, les kiwis, les mangues, les avocats, les bananes et les ananas.

 

Les meilleurs légumes pour la santé

Maintenant, ce n'est pas parce qu'un fruit ou un légume contient peu de pesticides qu'il apporte le maximum de bienfaits pour la santé.

En réalité, il faut chercher à privilégier les légumes colorés, surtout lorsqu'ils sont verts et à feuille, riches en antioxydants, en vitamines et en minéraux.

Les pommes de terre sont à éviter du fait de leur importante « charge glycémique » : une pomme de terre est composée d'amidon presque exclusivement. Une fois cuit, cet amidon se transforme en glucose pur dès qu'il est en contact avec votre langue, et il fait augmenter votre taux de sucre dans le sang plus vite que si vous mangiez du sucre en morceau. Si bien que ce qui est mauvais dans les frites, ce n'est pas tant l'huile dans laquelle elles ont cuit, comme on l'imagine souvent, mais la pomme de terre elle-même, parce qu'elle est surcuite, et en particulier le grillé.

Les légumes dont il ne faut pas abuser, parce qu'ils sont eux aussi riches en sucre, sont les betteraves rouges, les carottes, les aubergines et les potirons.

En revanche, vous n'avez aucune raison de vous limiter si vous mangez les autres légumes. Dans l'ordre alphabétique : asperge, avocats, blettes, brocolis, céleri, chicorée, choux de toutes sortes y compris chou-fleur, chou chinois, chou rave et choux de Bruxelles, concombres, courgettes, endives, épinards, fenouil, oignons, patate douce, persil, poivrons, radis, salades de toutes sortes, scarole, tomates.

En mangeant de tous ces légumes régulièrement, crus ou peu cuits si possible, vous apporterez à votre organisme les nutriments dont il a besoin pour se maintenir, se développer, et pour guérir.

Car le fait est que les scientifiques ne savent au fond pas grand-chose sur les nutriments et les prendre sous forme isolée, en compléments alimentaires, n'est pas toujours une bonne idée. La meilleure façon de les apporter à votre corps est en mangeant des légumes entiers, frais et si possible bios. Je recommande qu'au moins un tiers de votre alimentation totale soit crue, et le meilleur moyen d'atteindre cet objectif est de faire des jus de légumes avec vos légumes frais.

Mais le plus important est de manger des légumes, quelle qu'en soit la forme, et donc ne vous laissez pas décourager parce que vous ne pouvez faire du jus qu'une ou deux fois par semaine. Même si vous commencez doucement, vous observerez rapidement des améliorations qui vous encourageront à augmenter peu à peu cette saine habitude de vie.

Notez : Les informations de ce billet d'information sont transmises & publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de ce billet, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.

Repost0
10 avril 2018 2 10 /04 /avril /2018 08:20

Aujourd’hui voyons

" Comment réaliser son premier potager "

Les légumes sont source de vitamines, de minéraux essentiels pour notre organisme, les légumes sont bénéfiques et indispensables pour notre bonne santé.

Ce que l’on sait moins par contre, c’est que leurs bénéfices « fondent comme neige au soleil » peu de temps après avoir été cueillis. Jugez plutôt : Une journée après la récolte, ils ont perdu 50 % de leurs sucres et 25 % des vitamines, davantage encore pour la vitamine C …Donc, si vous faites l’effort de cultiver, de cueillir et de consommer immédiatement les fruits et légumes de votre jardin potager vous serez sûr de leur richesse en minéraux et vitamines, sans compter qu’en plus vous saurez qu’ils n’auront pas été (mal) traités d’où l’intérêt de réaliser soi-même son potager

Choisir son emplacement

Sud-Sud-Ouest : c’est l’orientation idéale pour un potager bien ensoleillé toute l’année.

A l’abri du vent : qui dessèche et refroidit le potager.

Eloigné des grands arbres : (boulot, peuplier...) qui en plus d’apporter de l’ombre, assèchent le sol à plusieurs mètres autour d’eux.

Sur un sol riche : et si votre jardin n’est fait que de cailloux, de sable et de remblais, épandez généreusement des amendements, du compost et des fertilisants riches en fumier et en algue avant de planter quoi que ce soit.

Près de la maison : mieux encore, près de la cuisine ou du coin barbecue, pour vous éviter trop de déplacements et y accéder facilement.

Près d’un point d’eau : plus facile pour l’irrigation des sols et l’arrosage.

Accessible depuis une allée stabilisée d’au moins 1,5 m de large : pour faciliter le passage d’une brouette ou d’une petit motoculteur et ceci par tout temps sans trop vous salir.

La surface idéale

Lorsque que l’on est un jardinier en herbe, on peut très vite avoir les yeux plus gros que le ventre en matière de potager.

Une parcelle de 10 m x 10 est largement suffisante pour nourrir une famille de 4 personnes toute l’année.

Vous vivez seul ? Plantez deux plants de tomates, 1 m de haricots ou de poireaux, 50 cm de navets ou de betteraves et 80 cm de carottes. Cela devrait suffire.

Si vous avez la possibilité de faire des conserves ou de congeler, vous pouvez multiplier la surface et le nombre de cultures par deux.

« La terre est basse » la solution la surélever

Bien sûr vous n’êtes pas obligé de suivre ce conseil pratique, mais … Cette technique moyenâgeuse possède de nombreux avantages.

En surélevant d’environ 20 cm le sol par des tressages de saule ou de châtaigner : Vous vous baissez moins, donc le travail est facilité et moins

pénible.

Vous pouvez changer le sol sans avoir à creuser, puisque celui-ci a été créé à partir de la terre et des amendements que vous avez apportés.

Diversité des cultures & espèces

Avoir un jardin potager, c’est bien, mais si vous ne pouvez accéder à vos cultures sans en écraser quelques unes sous vos bottes, c’est que vous aurez oublié de prévoir des mini-sentiers de circulation.

30 cm de large entre chaque culture est suffisant pour pouvoir circuler librement sans rien écraser.

Pour un premier potager, choisissez des espèces faciles à cultiver.

En graines : Radis, carottes, navets, betteraves, haricots, petits pois, fèves, ou encore des légumes-feuilles comme les épinards ou la mâche.

En plants : C’est aussi la meilleure solution pour débuter au potager. Les espèces proposées sont très nombreuses et présentées dans des conditionnements adaptés à la taille de votre potager et de vos besoins.

 

Pensez à effectuer leurs rotations

Ne cultivez jamais deux fois la même famille de plantes sur la même parcelle

Les plantes sont bien faites, aussi elles produisent des toxines qu’elles diffusent dans le sol pour empêcher la progression des plantes concurrentes et favoriser l’expansion de l’espèce.

On évite les maladies et les insectes ravageurs qui s’attaquent aux mêmes familles de plantes.

On évite un appauvrissement du sol.

 

Un exemple de cultures successives

Voici un exemple de cultures bio successives sur une même parcelle qui vous garantiront de belles récoltes et des plantes saines :

Année 1 : haricots, fèves ou pois.

Année 2 : ail, oignons, ou poireaux.

Année 3 : pommes de terre, aubergines ou tomates.

Année 4 : melons, concombres et courges.

Année 5 : on recommence le cycle ! etc …

 

Reste à mettre tous ces conseils à exécution !

Bon courage ... et surtout belles récoltes !

Repost0
7 avril 2018 6 07 /04 /avril /2018 09:37

Un chien qui se gratte est une image bien courante ! Les puces sont souvent responsables de ces problèmes de démangeaisons qui mènent la vie dure à nos toutous. Pour mieux les combattre, il faut mieux les connaître : focus sur ces insectes piqueurs...

Les différentes espèces de puces

Le royaume de ces insectes piqueurs/suceurs est vaste, puisque l'on compte plus de 2 500 espèces de puces de par le monde.

Le chien est le plus souvent attaqué par Ctenocephalides felis, l'espèce la plus fréquente dans les zones tempérées. Cette puce, comme son nom l'indique, a pour animal de prédilection le chat, mais c'est bien elle qui infeste 90 % des chiens car la bestiole n'est pas difficile et s'attaque aussi aux autres animaux y compris à l'Homme.

Ctenocephalides canis est la 'vraie' puce du chien, elle ne s'installe d'ailleurs que sur ceux-ci mais pour seulement 10% des infestations car elle est moins répandue que l'espèce précédente.

La puce est un petit insecte de 1 à 3 mm de longueur dont le corps brun est légèrement aplati sur les côtés pour faciliter sa progression le long du pelage des animaux attaqués. La puce se faufile ainsi prestement rendant tout prélèvement de la part du maître de l'animal difficile. La puce n'a pas d'aile mais de grandes pattes postérieures, lui permettant de sauter très haut. Elle se nourrit du sang des animaux domestiques et peut pondre de 50 à 100 œufs par jour, de quoi créer une belle invasion !

Comment un chien 'attrape'-t-il des puces ?

Les puces attendent dans les herbes hautes que leur hôte se présente. Un chien peut donc être contaminé lors de sorties dans la campagne, mais aussi lorsqu'il est en contact avec d'autres animaux porteurs de puces.

Comment savoir si mon chien a des puces ?

Le premier signe est un chien qui se gratte souvent la base de la tête avec ses pattes arrière ou se roule frénétiquement sur le dos. Il peut aussi se mordiller le pelage afin de calmer les démangeaisons.

En vous approchant du chien vous devriez pouvoir observer quelques puces à la base de la queue ou sur le dos, leurs zones de prédilection. Vous pouvez aussi les observer sur le ventre, là où le poil se fait plus rare. Les puces, émettent des déjections sous la forme de petits points noirs répandus sur la peau et parfois même dans le panier du chien. Munissez-vous d'un essuie-tout humide et passez-le sur cette poussière noire, si l'essuie-tout devient rouge, vous êtes bien en présence de déjections de puces.

Que faire si mon chien a des puces ?

Les puces occasionnent un désagrément au chien mais aussi à son maître qui peut en être victime. Les puces sont d'ailleurs vectrices de maladies et du ténia. Un traitement préventif tout au long de l'année protège le chien des infestations sévères et prémunit la maison contre celles-ci. Les larves de puces se développent souvent sur les tapis, les literies ou dans les interstices des planchers.

Les sprays, les colliers ou les pipettes ont une action à la fois préventive et curative. Les shampooings et les poudres ne sont efficaces qu'en cas d'attaque. Le traitement le plus efficace actuellement est sans conteste le comprimé mensuel à action rémanente, avec lui plus de souci !

Repost0