Le Blog De Papy-Bougnat

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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
Dans ce blog vous trouverez un peu de vérité, beaucoup de passion, et quelques coups de gueule 
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Il est très ... Exactement

 

 

 

             

 

 

 

 

A L'affiche..

La culture Ne s'hérite pas, Elle se conquiert. 

[André Malraux]

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Actu du jour...

 

 Passion Palombe

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A chacun sa toile

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    C'est un homme qui croise un de ses copains dans la rue : - Tiens, Mathieu, ça va ? - Ben, figure-toi que ma belle-mère est morte la semaine dernière... - Oh mince ! Qu'est-ce qu'elle avait ? - Bof, trois fois rien : une table, un buffet... Moi j'adore...

Attention ! Passion Palombe...

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C'est ici que ça se passe ............

Au mois d'octobre de chaque Année

 

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Tient ! 

IL y a une Palombière par ici .........?

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privilège

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29 juin 2014 7 29 /06 /juin /2014 07:39

 

 

  A l'ombre.logoJPG  Le spectacle est de qualité.

 

 

Sans doute vexé d’être apparu en enfant de chœur après l’affaire du Sofitel, François Hollande semble mettre un point d’honneur à rattraper son retard. L’ex-patron du FMI en blêmit. Celui qui pensait avoir le monopole de la turpitude sexuelle se voit en passe d’être rejoint dans la dernière ligne droite par un François Hollande serein mais déterminé à jouer dans la cour des grands. Parti du diable vauvert avec son air de ballot niaiseux, voilà notre chef d’État qui s’immisce dans la compétition. L’outsider sur lequel les parieurs n’auraient pas misé un euro cinquante se révèle tombeur de haut niveau.

DSK et Hollande, c’est le lièvre et la tortue. Parti trop vite, DSK s’est précipité et n’a pas su tenir une vitesse de croisière, et c’est en cela que François Hollande révèle sa stature internationale… Sa conception diplomatique des relations amoureuses impressionne les milieux compétents. D’abord une petite tromperie mine de rien pendant la campagne, on installe le butin en lieu sûr à l’Élysée et, discrètement la nuit, on part retrouver une seconde prise. Du bel ouvrage. Un mental de chasseur dissimulé sous un physique d’agneau chétif. Salut, l’artiste.

Un coup de fil à Nafissatou et elle arrive pour faire la chambre de Julie Gayet ! Et là… tout peut arriver. Le coup de folie, le scooter en panne, tiens si tu pouvais nettoyer les bougies, et hop… À nous les titres de la presse internationale, les menottes… Départ en beauté. Plutôt que viré par le peuple, sauvé par le gong, la quenelle de trop. Une manière élégante de sauver la face, de quitter le navire en vainqueur de DSK battu cette fois-ci sur son propre terrain. Le grand chelem.

 

Après son retour  sur le perron de l'élysée Ségolène compte les points. Un studio est prêt pour Valérie. En fondatrice de l’amicale des larguées par le Corrézien, elle accueillera la délaissée. Un vin chaud, quelques mots de réconfort, Kleenex à volonté, la solidarité de la gauche n’est pas un vain mot. Ensemble, elles attendront Julie Gayet et toutes les victimes du prédateur nocturne. Ainsi va le quinquennat. Cahin-caha, avec ses petits tracas, ses rebondissements, ses feux de l’amour… Sachet de pop-corn à la main, les Français ne sont pas déçus… Le spectacle est de qualité.

 

 

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22 juin 2014 7 22 /06 /juin /2014 07:28

 

A l'ombre.logoJPG   44 HEURES CHRONO.

 

 

 

 

Il est des expériences qui sont révélatrices d'un des maux dont souffre notre société : la dictature de la bureaucratie des experts polis mais froids qui règnent dans tous les domaines de notre vie. L'hôpital livré aux mains du " système technicien" en est un exemple particulier.

Dès l'entrée à l'hôpital on "codebarrise" le futur " corps malade" et sans que l'on y prenne garde on met en veilleuse sa personnalité avec ses émotions, ses souffrances, ses interrogations et ses angoisses ; subrepticement on déconnecte la conscience du patient de son organisme. C'est l'objectivation de l'être Seul son corps intéresse alors le monde des actes médicaux, réalisés avec civilité par des mains expertes, suivant des protocoles bien établis et respectés à la lettre. C'est le bal des infirmières, chacune chargée d'un contrôle ou d'un acte : poids, tension, température, etc. ; on dirait la check-list que doit vérifier tout commandant de bord avant le départ d'un avion. C'est la ronde du personnel hôtelier de l'hôpital pour les sujets liés à l'intendance et à la distraction. Le temps s'écoule, l'acte chirurgical majeur approche, pas l'ombre d'un être humain, d'un chirurgien, d'un "vrai médecin " pour échanger sur le seul sujet qui angoisse : qui va réaliser l'acte opératoire ? Que va-t-on faire exactement ? Comment sera la douleur ? A quoi doit-on s'attendre après ?, etc.... Tout se passe comme si on allait être pris en charge par un robot, qui dans un programme séquentiel parfaitement maîtrisé exécutera l’opération. L'acte médical terminé, le corps du patient est conduit dans une grande salle d'éveil, en présence d'autres corps ; on plaisante au-dessus de leur tête, ils n'existent pas. Après avoir vérifié les paramètres attestant de la vitalité de l'ensemble de l'organisme, c'est le retour en chambre. A la fin du temps protocolaire, 44 heures chrono, et après une visite de courtoisie de l'opérateur assistant on est convié à rejoindre son domicile. On quitte la chambre sans savoir qui saluer et qui remercier, tant les acteurs furent nombreux et tant préoccupés qu'ils sont dans l’exécution de leur mission.

Peu à peu le corps se reconnecte avec l’être intime. A la maison, les inévitables douleurs et les petites complications apparaissent et les questions restent sans réponse. Seul le service des urgences, avec l'attente en prime, pourra alors venir à bout de l'in soutenabilité de la souffrance, si tant est que l'on puisse communiquer aisément, et avec précision, avec l'interne de garde fraichement arrivé(e) d'un pays étranger et à qui on n'a pas jugé utile d'apprendre toute les subtilités de notre langue. Sans rien connaître du patient, en silence, il va à nouveau mécaniquement dérouler son protocole pour ensuite tenter de répondre à la souffrance du malade.

 

 

code barre

Quelques fois un peu plus d'humanité dans nos services publics ne dérangerai pas forcement rappel de la définition humanité ...bonté, sensibilité, compassion....

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15 juin 2014 7 15 /06 /juin /2014 08:05

 

 

A-l-ombre.logoJPG.JPG  Billet intime.....

 

 

La toile a ceci d'étrange que les émotions et les sentiments s'y répandent comme une traînée de poudre. Oh, bien sûr, il est plus facile de faire effet et succès avec des images choc ou graveleuses, des clichés à scandales ou des vidéos indignes ; ce monde baigne dans la médiocrité et internet contribue largement à ce triste phénomène. Pourtant, parfois, le meilleur parvient à faire son trou, à trouver une modeste place dans ce flot d'immondices.

C'est ce qui arrive parfois pour des billets intimes, des textes impudiques à mon sens, non parce qu'ils dévoilent des pans d'une vie privée que je préserve jalousement en dépit de cet exercice quotidien, mais parce qu'ils vont au plus secret des émotions. C'est alors que les partages prennent tout leur sens, qu'ils expriment une fraternité de sentiments en dépit des différences idéologiques, géographiques ou d'âge.

Je suis toujours ému de constater que des gens dont je sais si peu de choses, font alors ce geste incroyable de s'approprier un écrit, de le faire leur, au point de désirer l'offrir à leurs amis. C'est une fierté et une responsabilité. Plus j'avance dans cet exercice périlleux, plus je me rends compte que chaque mot, chaque sujet va faire écho, être lu et commenté. Ne pas choquer ni décevoir surtout, mais continuer à donner du bonheur ou de l'émotion ! exception faite pour l'actualité ou là je ne peux contrôler l'émotion 

Ce qui me touche le plus, c'est le fait d'avoir tissé un réseau de lecteurs qui semblent toujours sensibles à ce qui vient du plus profond de l'âme Au travers de ce réseau sensible je me dis alors qu'il ne faut pas désespérer de nos semblables, qu'il demeure encore une petite place pour ce qui n'est ni spectaculaire ni vulgaire mais se contente d'être simplement et modestement sincère. Cela me fait un bien fou, m’apportant l'énergie nécessaire pour poursuivre cette démarche insensée et si dérisoire.

Merci donc à tous ceux qui un jour, au hasard d'un billet qui chez eux a allumé une petite bougie, ont montré leur reconnaissance par ce partage au travers d’un simple commentaire que personne ne leur demandait vraiment de faire. Geste gratuit et pourtant si fort, porteur d'intérêt et de gratitude, qui me touche et me comble, auquel je veux ici, pour une fois, faire honneur.

J'ose croire qu'il y a encore place pour la sincérité et la beauté, les sentiments vrais et les belles phrases. J'espère encore trouver des êtres sensibles pour partager un rêve, un sourire, un chagrin ou une indignation. Chaque fois que ce miracle a lieu, il me comble d'aise. Merci donc à vous, qui dans le silence de votre écran, partagez ce que je vous offre ainsi !

 

Bon Dimanche à l’ombre de la tonnelle...

 

Papy……

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8 juin 2014 7 08 /06 /juin /2014 07:41

 

 

Le billet du dimanche 2014JPG  À propos du Béret 

 

 

En connaissez-vous l’origine ?

 

 Le mot "béret" vient du latin "birrus" ou "birrum", dont l'origine grecque est "birros" (casaque) - et "purros": (brun).

Mais Effectivement, Le mot béret provient du  mot béarnais "berret" désignant la coiffure des Béarnais, des Gascons et des Basques. Dans les Landes, il porte aussi le nom de "bounet" ou "capet".

La légende béarnaise  remonte à Noe qui, passé le déluge, remarqua en regardant ses cales, que le sol était recouvert d'un amalgame de laine piétinée formant un revêtement imperméable, c'était la naissance du feutre.

Le port du béret semble lié à près de 2000 ans d’histoire. En effet à l'origine le béret recouvrait la tête et les épaules des soldats romains. Par la suite, les habitants essentiellement des bergers de la vallée d'Aspe et d'Ossau ont débutés la fabrication des bérets, pour s'étendre au Pays Basque, aux Landes et Gascogne; ce seront principalement les émigrés basques qui le diffuseront. Cette diaspora émigra notamment au 19 eme siècle en Argentine, Chili, Pérou et Bolivie, Espagne ; en effet  dans un souci de ne pas diviser le patrimoine foncier, le droit de primogéniture male avait cours, c'est à dire que l'ainé male de la famille héritait du patrimoine foncier. 
Les pêcheurs à la baleine Basques l'exportèrent aussi jusqu'à Saint Pierre et Miquelon.

Il est possible de retrouver sa présence  comme à l’église de Bellocq, datant du Xllle siècle, sculpté dans la pierre.

 Le béret fut porté dès le 14eme siècle par les militaires; plus tard la garde personnelle de Napoleon 1er le porte aussi ; de même lors des  guerres carlistes en Espagne (1834-1840). Les chasseurs alpins se coifferont aussi du béret à partir de 1891 puis ce sera le tour des légionnaires, parachutistes, aviateurs.

Aujoud'hui le béret est porté par tout le monde et devient un attribut vestimentaire de mode; ainsi on le remarque dans de nombreux défilés de mode, il est porté en ville comme à la campagne dans tous les milieux et toutes tranches d’âge ;  que ce soit pour  monsieur ou madame, le béret se décline sous différentes formes et différentes couleurs, il est souvent porté avec élégance.

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 le "béret basque" historique constitué d'une feutrine imperméable et tricoté.

"Le béret basque" est fabriqué  en Béarn par 2 entreprises et une au Pays Basque espagnol 

 

 

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1 juin 2014 7 01 /06 /juin /2014 07:24

 

 

Le billet du dimanche 2014JPG   L'histoire... des espadrilles

 

 

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Symbole des beaux jours, de vacances, avec les cigales en bande-son, les espadrilles s'adaptent depuis plusieurs saisons à toutes les tendances : en dentelle ou imprimé camouflage chez Valentino, montantes à lacets chez Chanel, en poil de poney ou imprimé léopard chez Céline. On peut aussi aller voir du côté des petites marques telles Lika Mimika, Flamingos, Prism ou Paloma Barceló(photo), qui proposent de l'espadrille fourrée, transparente, lamée, aux talons vertigineux, etc. Les puristes choisiront bien sûr la version basique à 5 €, bien inspirés qu'ils sont par Sagan ou Picasso.

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Les chaussures à semelles tressées existeraient depuis au moins quatre mille ans : on en a retrouvé aux pieds d'un squelette en Andalousie... Au XIIIe siècle, les soldats du roi Pierre II d'Aragon en étaient équipés. La fabrication française apparaît au XVIIIe siècle dans le Béarn et le Pays basque, assurée par des tisseurs de chanvre pour les semelles, et par des couturières pour la toile de lin fermant la chaussure. Au siècle suivant, les soldats de la couronne d'Espagne, les mineurs et même les Sud-Américains ne jurent que par les espadrilles, pour leur légèreté et leur semelle laissant respirer le pied. Après la première guerre mondiale, de nombreux modèles se dotent d'une semelle en gomme. Cette innovation la transforme en chaussure de loisirs et la mode s'en empare. Dans les années 1960, Yves Saint Laurent a l'idée d'une espadrille à talons et rubans qu'Isabel et Lorenzo Castañer lui fabriquent, lui donnant ses lettres de noblesse.

Si on ne peut déterminer avec précision la date de naissance de l’espadrille, on peut cependant affirmer qu’elle fût fabriquée au Pays Basque dès le XVIIIè siècle par des artisans du chanvre et du lin. L’émergence de l’espadrille en tant que phénomène économique et social se situe vers 1850.

L’espadrille s’est répandue à Mauléon et dans sa région au XIXè siècle, d’abord parceque c’était un produit peu couteux, trés facile à fabriquer, s’adaptant parfaitement aux besoins des usagers. La région connaissait alors une misère réelle. On doit, paraît-il, l’invention de la sandale à des miséreux, des déshérités, même des infirmes (Laplace, 1907). Malgré leur infortune et poussés par le sens de l’honneur et de l’amour-propre, ils se voulaient utiles à la société, et mirent au point une chaussure facile à porter et bon marché.

Une espadrille (déformation de l’occitan espardelha, variante de l’espagnol espartiña, du catalan espartenya, de spart) est une chaussure légère en toile avec une semelle en corde de chanvre tressée.

Ces sandales d’origine pyrénéenne sont très populaires sur les deux versants de la chaîne, de la Catalogne au Pays basque, où elles ont supplanté la traditionnelle abarka.

L’espadrille apparait en 1890. « Chaussure de paysan à l’origine, l’espadrille fut portée par les troupes légères de la couronne catalano-aragonaise, et, en 1964, imposée par décret royal à l’infanterie espagnole » .

Des personnes célèbres ont porté des espadrilles et elle revient à la mode.

 

En Catalogne, où des descriptions et des illustrations montrent son existence depuis le Moyen Âge, l’espadrille se porte avec de longs lacets noués autour de la cheville.

espadrille.03JPG.JPGElle reçoit des noms différents suivant la couleur employée et suivant la disposition du tissage, la plus courante étant espardenya. Dans les Pyrénées-Orientales, on l’appelle vigatana.

Jusqu’au milieu du XXe siècle, elle servait à tous les moments de la vie, aussi bien pour travailler la terre, pour aller danser, pour marcher en montagne que pour jouer aurugby. Salvador Dalí apparait chaussé d’espadrilles catalanes sur de nombreuses photographies. Aujourd’hui encore elles font partie intégrante de l’uniforme de gala (utilisé pour les cérémonies protocolaires) de la police autonome de Catalogne, les Mossos d’Esquadra (elles sont alors de couleur bleue).

Beaucoup, dans le sud-ouest, la considèrent comme la tong d’antan, qu’on rachète chaque année avec plaisir aux premiers rayons de soleil.

 

Mauléon-Licharre en Soule (Pyrénées-Atlantiques) en est la capitale au Pays basque. [source: Wikipedia].

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