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29 avril 2024 1 29 /04 /avril /2024 07:47

Dans la catégorie origine des mots  voyons aujourd'hui celui de ; 

Pêche Melba (D’après « Souvenirs inédits : 75 ans au service de l’art culinaire », paru en 1985)

À la fin du XIXe siècle, Auguste Escoffier, qui dirige alors les cuisines de l’hôtel Savoy à Londres, invente cet entremets un soir où une célèbre cantatrice demande des fruits glacés

 

Le chef cuisinier le plus célèbre de son temps, Auguste Escoffier (1846-1935), a consigné les détails de la naissance de la Pêche Melba, lesquels ont été rassemblés dans Souvenirs inédits : 75 ans au service de l’art culinaire, publié en 1985. Il confie que « ce fut à l’occasion de l’ouverture du Carlton que parut pour la première fois sur un menu la Pêche Melba.

Je connaissais déjà la gracieuse diva Nellie Melba qui était descendue au Savoy en 1893 et en 1896, alors qu’elle chantait à Covent Garden. J’avais eu le privilège de l’entendre au cours d’une représentation de Lohengrin.

Nellie Melba (1861-1931). Gravure extraite de la Collection Jaquet, collection de gravures
extraites de périodiques et de journaux illustrés du XIXe siècle

« Pour lui témoigner mon admiration et la remercier de cette soirée passée sous l’envoûtement de sa voix prodigieuse, servie par un réel talent d’actrice, je voulus lui réserver une surprise. Le lendemain de cette représentation, Madame Melba donnait à dîner à quelques personnes de ses amis. C’était là le prétexte à saisir.

« Me souvenant du majestueux cygne mythique qui apparaît dans le premier acte de Lohengrin, je lui fis présenter, le moment venu, des pêches sur un lit de glace à la vanille, dans une terrine d’argent incrustée, entre les ailes d’un superbe cygne taillé dans un bloc de glace, puis recouvert d’un voile de sucre filé.

« L’effet produit fut surprenant et Madame Melba se montra sensible à mon attention. La grande artiste que j’eus dernièrement l’occasion de revoir à l’Hôtel Ritz de Paris me reparla de la soirée des fameuses pêches au cygne.

« Le succès de cette création fut rapide et décisif. Vingt-cinq années se sont écoulées depuis l’apparition de ce dessert, aujourd’hui de réputation mondiale. Malheureusement j’ai eu maintes fois le regret de constater que la vraie formule est trop souvent altérée.

« La Pêche Melba se compose de pêches tendres, mûres à point, de glace à la vanille, et de purée de framboise sucrée. Toute dérogation à cette règle nuit à la finesse de cet entremets. Certains prennent la liberté de remplacer la purée de framboise par de la fraise ou de la gelée de groseille. Ce faisant ils n’approchent guère de la saveur recherchée.

« Plus décevante est la désinvolture de rédacteurs qui, sans prendre la peine de s’informer, prétendent connaître la vraie recette et conseillent sans discernement de mêler à la purée de framboise de l’arrow-root ou autre farine pâteuse. D’autres suggèrent de décorer la pêcher avec de la crème Chantilly. Les résultats obtenus ne conservent de la Pêche Melba que le nom et ne sauraient satisfaire en aucun cas le palais d’un connaisseur. Voici la recette originale de la Pêche Melba.

Auguste Escoffier livre ainsi la recette originale :

(Auguste Escoffier. Portrait conservé par le musée Escoffier de Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes)

Choisir six pêches de qualité tendre et mûres à point. La pêche de Montreuil est tout indiquée pour ce dessert. Plonger les pêches pendant deux secondes dans l’eau bouillante, les retirer aussitôt avec une écumoire et les jeter dans de l’eau contenant de la glace pilée ; les débarrasser de leur pelure ; les déposer sur un plat, les saupoudrer légèrement de sucre, les tenir au frais.

D’autre part, préparer un litre de glace à la vanille très crémeuse et 250 g de framboises très fraîches passées au tamis fin ; ajouter à cette purée 150 g de sucre en poudre. Tenir au frais

DRESSAGE
Garnir le fond d’une timbale d’argent avec la glace à la vanille. Sur ce lit de glace, ranger délicatement les pêches et les masquer avec la purée de framboise. Facultativement pendant la saison des amandes, on pourra parsemer sur les pêches quelques amandes fraîches, effilées, mais ne jamais employer d’amandes sèches.

 

PRÉSENTATION
Incruster la timbale dans un bloc de glace taillé à volonté, jeter sur les pêches un léger voile de sucre filé (le sucre filé est facultatif).

Nota : Le trempage des pêches dans l’eau bouillante puis immédiatement dans l’eau glacée a pour effet de conserver à ces fruits leur fraîcheur pendant de longues heures et éviter qu’elles noircissent. Ceci a une importance particulière dans le service des grands restaurants. Pourtant si les pêches débarrassées de leur pelure devaient être conservées jusqu’au lendemain, il faudrait les déposer dans une terrine et les recouvrir de sirop bouillant.

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18 mars 2024 1 18 /03 /mars /2024 09:43

Tient , tient  en 1897 on en parlait déjà ! " 

Le Véhicule électrique  : promis à
gagner la capitale et à remplacer
la voiture à pétrole en... 1900

En 1897, un chroniqueur scientifique de la revue La Science française, observant l’inquiétante prolifération annoncée des véhicules à pétrole, bruyants et polluants, au sein de la capitale, rassure ses lecteurs en leur présentant comme hautement improbable le fait de généraliser ce moyen de transport, l’estimant d’ores et déjà supplanté par la très prometteuse voiture électrique, dont l’essor inéluctable est à ses yeux imminente. « Etonnamment », cet avènement n’aura pas lieu...

 

Plusieurs grands journaux quotidiens de Paris nous ont annoncé, ces jours derniers, que la capitale allait enfin être dotée de ces fameux fiacres automobiles dont il a été si souvent question depuis plusieurs mois mais dont aucun spécimen n’a été mis jusqu’à ce jour en service régulier à la disposition du public.

Ces mêmes journaux, prenant leurs désirs pour des réalités, annoncent bravement que d’ici peu cinq cents fiacres automobiles seront mis en circulation par les soins de la seule Compagnie générale des Petites Voitures de Paris. Pour peu que d’autres Compagnies de louage aient pris, toute proportion gardée, la même initiative, c’est au bas mot plus d’un millier de sapins automobiles qui muteraient bientôt sur les boulevards.

 

Que le bon public se rassure, cet événement ne se réalisera pas de sitôt. Pour une bonne raison d’abord, c’est qu’en supposant qu’un type d’automobile ait été définitivement adopté et qu’on pût réquisitionner tous les constructeurs d’automobiles de France et de Navarre, d’Angleterre et d’Amérique pour le mettre sur roues, leur production totale ne fournirait pas d’ici la fin de l’année 1897 les seuls cinq cents fiacres de la Compagnie générale.

Il faut bien se figurer qu’on ne fait pas des automobiles comme on fait des fusils, des montres, et des bicyclettes. On monte et règle, toutes pièces réunies, une bicyclette en quelques heures ; il faut plus d’une semaine pour obtenir ce résultat avec une automobile. D’autre part, si les voitures à moteur à essence minérale font le bonheur du touriste, et, par-ci par-là, celui des magasins de nouveautés, à qui elles servent de réclame, plutôt qu’elles ne rendent réellement service à leurs livraisons à domicile, il faut se pénétrer de cette idée que ces deux types de véhicules ne seront tolérés dans les agglomérations que tant qu’ils seront à l’état d’exception.

Quels qu’aient été les progrès de toute sorte apportés ces temps derniers à la construction de ces automobiles, celles-ci n’en ont pas moins l’inconvénient de faire du bruit et de dégager des odeurs désagréables.

Le jour où des files de véhicules à pétrole feraient la queue aux bifurcations des rues fréquentées, les terrasses des cafés ne seraient plus habitables, les magasins fermeraient leurs portes et les quartiers les plus commerçants de Paris, ceux qui font surtout vivre la grande ville, seraient réduits à fermer boutique, aucune tête ne se montrerait aux fenêtres, ce serait la grève générale des vendeurs, des consommateurs et des locataires.

Nous l’avons dit à plusieurs reprises, la vapeur, jusqu’à nouvel ordre, convient seule aux gros transports, et encore, en parlant des exploits automobiles de la vapeur, ne voyons-nous guère que l’omnibus Weidknecht qui ait fait ses preuves. L’omnibus à pétrole du système Cambier, que nous verrons au concours des gros poids en juillet prochain, lui fera peut-être un heureux pendant. Mais ces types-là sont surtout destinés aux grandes routes : ils ne feront qu’un court séjour dans les villes.

Les voitures électriques sont les seules qui conviennent aux agglomérations populeuses. Celles-là ne dégageront ni fumée, ni odeur, ne feront pas de bruit, s’arrêteront et repartiront sans que le cocher soit tenu de descendre de son siège, et se ravitailleront aux sources d’énergie disséminées à profusion dans tous les quartiers.

Or, il n’existe pas actuellement de voiture électrique légère et économique, mûre pour le trafic des villes. Nous en aurons quelques-unes cet été en essai à Paris, mais si elles donnent des espérances, il n’est pas encore permis de leur prédire le succès à brève échéance. Et en supposant que ce rara avis nous soit bientôt montré, il faudra de longs mois avant que les constructeurs en aient mis des centaines sur le pavé de Paris. M. Pierre Giffard pense qu’il faudra deux ou trois années avant que les automobiles fassent couramment le service de place. Nous ne sommes pas loin d’être de son avis.

 

Donc ce n’est pas au cours de l’an de grâce 1897 que nous assisterons à cette débauche d’automobiles. Et c’est vraiment fâcheux, car le fiacre électrique ferait le bonheur de tous les Parisiens. Ils prendront moitié moins de place que les voitures à chevaux portant le même nombre de personnes, ils iront plus vite, et évolueront plus facilement : tout le monde y trouvera donc son compte, surtout le client, qui fera davantage de chemin et paiera moitié moins cher l’heure, s’il faut en croire les affirmations de M. Rixio, directeur de la Compagnie générale des Petites Voitures.

Ces voitures seront sûrement montées sur pneus : on se croira à Venise, dans les gondoles, tellement l’allure sera douce. La transformation se fera sans douleur, deux ou trois journées d’apprentissage suffisant pour transformer le cocher en excellent chauffeur. Le cheval sera envoyé au vert ou à la boucherie, et le fiacre électrique roulera silencieusement sur le pavé en bois qu’il brûlera sans y mettre le feu.

Restera le piéton, qui aura un nouvel apprentissage à faire, car les tramways mécaniques d’une part, les cyclistes et les automobiles de l’autre, tous filant à qui mieux mieux, lui laisseront difficilement le passage au milieu de tous ces démons déchaînés. C’est là où le bâton du sergent de ville sera d’une réelle utilité. Au besoin on électrisera aussi l’un et l’autre, et il suffira au policeman d’étendre le bras pour arrêter net l’élan des automobilistes lancés dans les passages dangereux.

D’après « La Science française », paru en 1897)

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9 mars 2024 6 09 /03 /mars /2024 09:14
Tout savoir sur " Lescure "

Le légendaire Parc Lescure va accueillir dans son entre d’autres légendes !

Le 14 mai prochain,

le Stade Chaban-Delmas, autrefois connu sous le nom de Parc Lescure, célèbrera son centenaire. Et pour l’occasion, un événement exceptionnel va être organisé et réunira quelques-unes des plus grandes légendes du football français: Zinédine Zidane, Bixente Lizarazu, Laurent Blanc et bien d’autres !

C’est un plateau royal de stars du football qui s’annonce à Bordeaux ! Des grands noms du football français ou qui ont marqué l’histoire des Girondins de Bordeaux jusqu’en 2015, seront réunis pour célébrer le riche passé du Parc Lescure ! Dernièrement, il accueille les rencontres de l’Union Bordeaux Bègles. L’emblématique enceinte bordelaise a été le témoin au fil des saisons de moments épiques et de triomphes mémorables.

Parmi les joueurs annoncés, Zinédine Zidane donc, icône du football mondial, devrait être présent, tout comme ses compagnons d’équipe emblématiques tels que Bixente Lizarazu, Christophe Dugarry, Laurent Blanc, Pauleta, Fernando Cavenaghi, et d’autres encore. L’ancien coach des Girondins, Elie Baup, a également donné son accord, ajoutant une belle dimension à ce match des légendes opposant d’anciennes gloires des Marine et Blanc et le Variétés Club de France.

Alain Giresse, surnommé « le petit prince de Lescure » pour ses 182 buts en 592 matches avec le club, débutera lui aussi symboliquement la rencontre, crampons au pied. Aux côtés de Christian Karembeu, Robert Pires et Michel Platini, il incarnera l’esprit et la passion qui ont fait la renommée de ce stade.

En bref "Revenons un peu sur son histoire....."

Aujourd'hui stade de référence du club de rugby bordelais l'UBB (Union Bordeaux-Bègles), l'ancien parc Lescure, rebaptisé Chaban-Delmas en 2001, est longtemps resté le temple de l'équipe de football des Girondins, avant leur déménagement en 2015, au stade Matmut-Atlantique.

Menacée de reconversion en zone de logements en 2016, un projet abandonné depuis , cette enceinte sportive mérite bien l'épithète "mythique", parfois galvaudée. En témoigne son histoire d'une richesse incroyable, qui se confond avec celle de la ville et des Bordelais.

Construit par les architectes Raoul Jourde et surtout Jacques d'Welles, et inauguré le 10 juin 1938, le stade bordelais qui a en effet vu évoluer et briller Zinedine Zidane, jeune joueur des Girondins et futur champion du monde 1998 avec les Bleus, a ainsi accueilli seize matchs de Coupe du monde, de foot et de rugby, deux demi-finales de Coupe d'Europe et pas moins de vingt-sept arrivées d'étapes du Tour de France. Sans compter plusieurs grands concerts , comme celui de Dire Straits , le 3 septembre 1992,

ou encore ceux Johnny Hallyday, en 2003, 2009 et 2012, un grand habitué des lieux.

Contrairement à ce que l'on pourrait croire, s'il a été labellisé "Patrimoine du XXIe siècle" en 1999, l'année où les Girondins décrochaient leur cinquième titre de champions de France, le 30 mai, face au PSG, le stade Chaban-Delmas n'est pas classé monument historique et ne bénéficie d'aucune mesure de protection. Mais l'association "Préservons Lescure" veille au grain. La préservation des gradins du virage et des voûtains à arrêtes apparentes imaginés par Raoul Jourde, ou encore des escaliers à double volet de Jacques D'Welles fait l'objet de tous ses soins. Après  100 printemps, le stade Chaban-Delmas en pleine forme, reste l'un des plus beaux fleurons du patrimoine vivant de Bordeaux.

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9 janvier 2024 2 09 /01 /janvier /2024 10:08

                       A Mamie Georgette….        

        

   La vie qui passe

 

Dans une famille, il y a nos aînés,

Puis nos grands -parents et nos parents….

Et un jour l’on naît…

Viennent alors nos enfants et nos petits-enfants…

Les générations s’enlacent,

Au gré des années qui passent….

Les moments deviennent des souvenirs,

Des référents du plaisir…

Puis un jour un maillon disparait,

Conscience qu’il est essentiel de profiter…

Partager, discuter, jouer, rigoler,

Être attentionné et s’aimer…

Les départs se succèdent,

Jusqu’au dernier rempart qui cède

C’est toi Mamie que l’on surnommait,

« Berthe aux grands pieds »

Avec ton visage doux d’ange…

Où sont nos grands – parents ?

Emportés par les ans…

Si parfois la vie momentanément nous dissocie,

La mort elle nous réunit….

Une nouvelle page s’écrit,

L’on ne tourne pas le dos au passé qui nous a construit…

Il est temps de te dire merci,

Et te laisser rejoindre papi,

             A bientôt Mamie                 

                                

                                              Ton Chilil   Diego R

 

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18 décembre 2023 1 18 /12 /décembre /2023 07:46

Nestor Burma à tirer sa révérence ... ! Avec j'en suis certain, élégance, et classe ...

On perd encore un peu de notre jeunesse avec lui...il avait tant de charme, de gouaille, de talent...après lui il n'y aura plus de pasionnata...Il y a des. Personnes comme çà qui sans vraiment les connaître sont si familières qu'elles font un peu partie de la famille. Un très bon acteur et aussi très bon musicien Avec des Films notable comme Hold up, avec Bebel ( Belmondo) et villeret disparu aussi.. Sans oublier Nestor Burma. J’espère qui ne passera pas aux oubliettes de nos petits écrans  et qu'ils  seront lui faire un hommage à sa hauteur …cinématographique 

Un de ces plus grand succès ...........

A une certaine époque Il a aimé et habité notre région et même jusqu’à en épouser également une locale....

Logique

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