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| 3ème Journée Européenne de l'Obésité |
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Passion Palombe
A chacun sa toile
C'est ici que ça se passe ............
Au mois d'octobre de chaque Année
Tient !
IL y a une Palombière par ici .........?
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" Révélation "
Et pendant ce temps, Delanoë flambe 236 millions pour un toit....
Alors que la France est noyée sous les dettes, le maire de Paris va débourser une fortune pour édifier cette «Canopée» au-dessus du Forum des Halles.
Faisons taire tout de suite les critiques : le futur toit du Forum des Halles, dont la construction a commencé il y a quelques semaines, ne sera pas une vulgaire plate-forme en tôle ondulée. Comme vous pouvez le constater sur cette image, la «Canopée» sera une œuvre architecturale de premier plan, comparable, en termes de rayonnement culturel, au dôme du Taj Mahal et à la tour Eiffel. C’est du moins ce qu’espèrent ses promoteurs. Bertrand Delanoë la décrit comme « une immense feuille translucide ondoyant à la hauteur de la cime des arbres », le dossier de presse de la mairie de Paris évoque une « peau de verre qui laissera passer la lumière », et son concepteur, l’architecte Patrick Berger, assure que sa chose « mettra en résonance l’énergie naturelle et l’énergie urbaine ». Le cœur des Parisiens en frissonne déjà.
L’ennui, c’est que leur portefeuille aussi. Aux dernières nouvelles, cette «feuille ondoyante» de 144 mètres sur 144 devrait coûter 236 millions d’euros aux contribuables de la capitale, l’équivalent du prix de 11 collèges flambant neufs ou, si l’on préfère, de 1 600 logements sociaux tout équipés. Même en défalquant la poignée de millions (une dizaine) consacrés à l’édification des quelques commerces et équipements publics attenants, cela fait lourd pour un toit. Et la facture risque d’enfler encore, car la pose de cette couverture géante au-dessus d’un espace où transitent chaque jour 800 000 personnes s’avère bien plus complexe que prévu. Le mode de construction imaginé au départ – pour ne pas gêner les boutiquiers, l’ouvrage devait être assemblé à terre dans le jardin d’à côté, puis mis en place d’un seul bloc avec des vérins – a en effet été abandonné au profit d’une méthode classique ; la structure a dû être rehaussée de 2,5 mètres pour des raisons techniques ; et l’on a découvert tardivement que les piliers sur lesquels elle était censée reposer n’étaient pas assez solides.
Résultat : avant même de mettre la main au ciment, le groupe Vinci, désigné cet automne pour effectuer les travaux, a obtenu une rallonge de 40 millions d’euros (3 écoles communales) sur le budget initial. Et l’architecte a exigé un supplément d’honoraires de 28,8% (5,5 millions d’euros, 2 grandes crèches), au demeurant tout à fait illégal. Il est vrai que cet homme de l’art n’a pas hésité à flamber 1 million (10 000 Vélib’) pour la réalisation d’une maquette de travail à Vaires-sur-Marne (77). «Elle a été détruite au bout de quelques semaines sans que personne n’ait été autorisé à la voir», peste Elisabeth Bourguinat, pasionaria de l’association Accomplir, qui ferraille depuis des mois contre le projet. Pour couronner le tout, les coûts d’expropriation et de dédommagement des commerçants gênés par les travaux menacent de crever le plafond. La mairie y a déjà consacré 5 millions d’euros (2 bibliothèques), et elle confesse qu’il lui faudra débourser bien plus. Avant d’être un toit, la Canopée est un gouffre.
Mais au fait, à quoi sert-elle ? Eh bien, pour dire la vérité, pas à grand-chose. D’abord parce que le patio du Forum des Halles a toujours été à l’air libre, et qu’il n’y avait aucune raison objective de le recouvrir. « Pas plus que l’avenue des Champs-Elysées ou le parvis de Notre-Dame », soupire Jacques Boutaud, le maire vert du IIe arrondissement voisin. Et puis parce que cette étrange toiture ne couvrira de toute façon pas grand-chose. Elle partage en effet avec les vieilles cases du Club Med la particularité de ne pas protéger de la pluie. Afin que les fumées puissent s’évacuer en cas d’incendie, les services de sécurité ont exigé que la moitié de sa surface soit ouverte à tous vents. L’architecte a donc imaginé un système de lamelles inclinées à 50 degrés, joliment baptisées «ventelles». « La bonne nouvelle, c’est qu’on pourra voir le ciel de dessous », ironise Serge Federbusch, animateur du site Delanopolis et violent adversaire du projet Berger. La mauvaise, c’est que s’il pleut par grand vent, il faudra y circuler avec un parapluie. En cas de neige, ce sera plus tordant encore, des plaques entières dégringoleront sur la tête des badauds, on pourra faire des bonhommes.
Alors ! Crise ou pas crise .........?
A vous de juger ! !
ACTU......
La France, 11ème pays où l'essence est la plus chère.....
Alors que les prix du carburant flambent en France, la consommation, elle, a diminué depuis le début de l'année. Pourtant, ce n'est pas dans notre pays que l'essence coûte le plus cher. D'après le classement établi cette semaine par l'agence Bloomberg, la Norvège remporte le record des prix à la pompe: le gallon d'essence (soit 3,785 litres) y est le plus cher au monde, à 9,69 dollars. Le haut du classement, qui compte 55 pays à travers le monde, est européen. En deuxième place se trouve en effet le Danemark avec 9,37 dollars le gallon, suivi de l'Italie et des Pays-Bas (9,35 dollars), puis la Grèce (9,23 dollars) et la Suède (8,97 dollars).
La France arrive en onzième position avec un gallon d'essence à 8,72 dollars, soit 6,63 euros. Loin devant les États-Unis, au 44e rang, avec 4,19 dollars. Outre-Atlantique, la production pétrolière est subventionnée et les taxes sur les prix à la pompe peu élevés (11% du prix, contre 60% en Grande-Bretagne par exemple). En queue de classement, on retrouve des membres de l'Organisation des pays producteurs de pétrole (OPEP): le Nigeria, les Émirats arabes unis, le Koweït, l'Arabie saoudite et le Venezuela, bon dernier avec un gallon à 9 cents, soit moins de 7 centimes d'euro!
«La douleur à la pompe»
Ces écarts sont toutefois à nuancer: Bloomberg établit un deuxième classement, appelé «la douleur à la pompe» («Pain at the pump»), qui rapporte le prix à la pompe dans chaque pays au salaire moyen journalier de ses habitants.
Si le Venezuela reste le pays où l'essence est le moins cher, la Norvège bascule, de son côté, en queue de classement: un gallon représente 3,6 % de ce que gagne en moyenne un habitant chaque jour. En France, classée 35e, le ratio est de 7%. C'est dans les pays émergents que les habitants souffrent le plus pour remplir leurs réservoirs: la Chine, l'Indonésie, le Nigeria et surtout l'Inde: un habitant doit en moyenne débourser 1,35 fois son salaire journalier pour un gallon.
...Le saviez-vous ?
L’insecte qui aspire les entrailles de ses victimes et porte leurs cadavres sur son dos !
Si les insectes vous font horreur, il est temps de rebrousser chemin ! Aujourd'hui, je vous présente un insecte très particulier et fascinant, qui a pour habitude d'empiler les cadavres de ses victimes sur son dos afin de se protéger des prédateurs. Une découverte surprenante !
Pour se protéger des innombrables menaces qui les entourent, les insectes ont recours à diverses techniques. Et bien en voilà une très originale qui a le mérite d'être aussi très efficace ! La nymphe d'Acanthaspis Petax utilise les dépouilles des fourmis dont elle vient de dévorer les entrailles pour se faire une carapace et impressionner ses hypothétiques agresseurs. Elle est présente en Malaisie, fait partie de la famille des insectes prédateurs (les réduves) et mesure à peine un centimètre de long. Mais comment s'y prend-elle ?
Pour cela, elle injecte à ses victimes une enzyme qui liquéfie leurs entrailles afin de pouvoir les aspirer. Cette technique permet de préserver la carcasse qu'elle s'empresse alors de hisser sur son dos, une fois son repas terminé 0-O. Elle peut ainsi empiler environ une vingtaine de spécimens, liés les uns aux autres grâce à une sécrétion gluante. Si elle se fait attaquer, la nymphe pourra alors battre en retraite pendant que son agresseur s'en prendra en premier lieu à sa "carapace". Un scénario digne d'un film de science-fiction et pourtant bien réel.
Alors, ça vous donne quelques idées ?
Santé :L'apithérapie ;
Ou la façon d'utiliser les produits récoltés, transformés ou sécrétés par l'abeille :
Le miel, la propolis, le pollen, la gelée royale et le venin, à des fins thérapeutiques.
L'apithérapie a actuellement une place importante parmi les thérapies dites "douces". Les substances les plus connues sont la gelée royale et la propolis.
La gelée royale est riche en acides aminés, oligo- éléments et vitamines. Elle est stimulante, tonifiante, et revitalisante. Elle favorise a une action antibiotique, agit sur la sphère neuropsychique (états anxieux, états dépressifs), sur la sphère dermatologique (action sur certaines maladies de peau) et sur l'appareil cardiovasculaire.
La propolis (substance résineuse butinée par les abeilles dans les bourgeons de certains arbres), elle, a des propriétés antifongiques, anesthésiantes et cicatrisantes. En dermatologie, l'effet cicatrisant des préparations à base de propolis sur les blessures et la régénération des tissus est connu depuis longtemps (brûlures du second degré, eczémas). Elle a des propriétés anti oxydantes et neutralise les radicaux libres responsables du vieillissement cellulaire, c'est pourquoi elle est aussi utilisée dans des cures antivieillissement.
Moins connu : l'api-venin-thérapie. Il s'agit du traitement par piqûres provoquées d'abeilles. Si le venin d'abeille peut provoquer des réactions douloureuses, voire des allergies, il faut savoir qu'il est également utilisé contre les douleurs rhumatismales, les sciatiques, et les rhumatismes articulaires ..