Le Blog De Papy-Bougnat

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  • De moi. retraité, passionné, curieux, gourmet, vivant au vert en Aquitaine
Signe particulier : « Ayant attrapé tout jeune la maladie bleue et pas guéri à ce jour !
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Il est très ... Exactement

 

 

 

             

 

 

 

 

A L'affiche..

La culture Ne s'hérite pas, Elle se conquiert. 

[André Malraux]

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Actu du jour...

 

 Passion Palombe

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A chacun sa toile

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Articles Récents

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    Il y a 100 ans, Étienne Œhmichen devenait le premier homme à parcourir un circuit d'un kilomètre en hélicoptère . Le premier hélicoptère capable de parcourir un kilomètre en changeant de direction fut inventé d'Étienne Œhmichen, ce pionnier de l'aéronautique...
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    C'est un homme qui croise un de ses copains dans la rue : - Tiens, Mathieu, ça va ? - Ben, figure-toi que ma belle-mère est morte la semaine dernière... - Oh mince ! Qu'est-ce qu'elle avait ? - Bof, trois fois rien : une table, un buffet... Moi j'adore...

Attention ! Passion Palombe...

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C'est ici que ça se passe ............

Au mois d'octobre de chaque Année

 

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Tient ! 

IL y a une Palombière par ici .........?

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privilège

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13 janvier 2022 4 13 /01 /janvier /2022 07:35
L'actu rien que l'actu

Que veut dire l’expression tout vient à point à qui sait attendre ?

Cette expression signifie qu’avec du temps et de la patience, on finit toujours par obtenir ce que l’on souhaite.

Ce proverbe se retrouve dans la littérature classique, notamment chez Rabelais et chez Marot. On trouve la même idée exprimée autrement dans la fable Le Lion et le Rat de La Fontaine : « Patience et longueur de temps / Font plus que force ni que rage ».

L’expression tout vient à point à qui sait attendre a quelques variantes. À l’origine, sa forme était tout vient à point qui sait attendre, sans le mot à (qui a été ajouté entre le XVIIIe et le XIXe siècle). Ici, le mot qui signifiait « si on » mais ce sens a disparu aujourd’hui. De plus, on trouve aussi une variante avec le verbe pouvoir : tout vient à point à qui peut attendre.

Il existe d’autres proverbes au sens très proche : à qui sait attendre, le temps ouvre ses portes ; à savoir attendre, il y a tout à gagner.

L’erreur à ne pas faire

On n’écrit pas tout vient à point à qui c’est attendre ! Ce proverbe s’écrit bien avec le verbe savoir et non avec c’est.

 

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27 octobre 2021 3 27 /10 /octobre /2021 08:32

Brassens  : "L’amoureux des mots"

 

Pour célébrer encore Brassens, le poète, le musicien, l'amoureux des mots et de la littérature, voici une republication d'un article consacré à une de ses chansons les plus célèbres...

Brassens reste, pour chacun d'entre nous, l'éternel ami Georges : ses chansons sont intemporelles et éternelles, on aime toujours les entendre, les fredonner, les savourer...

L'amour lui a inspiré ses plus beaux poèmes : comment oublier La chasse aux papillons, Les amoureux des bancs publics, J'ai rendez-vous avec vous, Les sabots d'Hélène, Marinette, L'orage, ou encore Le parapluie ?

 Comment ne pas être sensible au charme, à l'évidence, à la simplicité de ce texte : Un p'tit coin d' parapluie ?
 
Une inconnue rencontrée sur le chemin offre au poète un moment de rêve.
Désignée par le pronom "elle", la jeune inconnue apparaît d'autant plus énigmatique et secrète : on ne connaîtra pas son nom, comme le poète l'ignorera aussi...
 
La pluie intense favorise la rencontre amoureuse.
Privée de parapluie, la belle inconnue a forcément besoin de secours, un secours que s'empresse de lui apporter le poète.
 
Le verbe "courir" souligne cet empressement, et le poète propose "un peu d'abri", grâce à un parapluie qu'il a volé, le matin même, à un ami.
On reconnaît bien, là, dans cette remarque, la désinvolture et l'indolence d'un poète.
 
La réponse de la belle inconnue ne se fait pas attendre... Elle accepte la proposition, avec un geste rempli de séduction :"en séchant l'eau de sa frimousse..."
 
Le refrain transforme alors la jeune fille en "ange" et le "coin de parapluie" devient "un coin de paradis".... L'inversion et la reprise de ces mots traduit bien le ravissement du narrateur.
Et le poète peut, dès lors, constater familièrement : "je ne perdais pas au change, pardi !"
Le vocabulaire religieux : "ange, paradis" transforme la jeune inconnue en une déesse, un être divin, aux attraits envoûtants.
 
La promenade sous la pluie nous permet de percevoir "le chant joli que l'eau du ciel faisait entendre..."
La pluie personnifiée semble, alors, devenir complice du poète en berçant les personnages de son doux chant...
 
Et celui-ci commente, avec tendresse et humour, son désir de voir la pluie se prolonger à l'infini et devenir "un déluge".
"J'aurais voulu comme au déluge, 
Voir sans arrêt tomber la pluie, 
Pour la garder sous mon refuge..."
 
Le poète se veut protecteur, car le parapluie se transforme en un véritable "toit", en un "refuge".
 
Mais le rêve s'achève avec le bout du chemin qui conduit au pays de la belle...
Les routes personnifiées conduisent "bêtement" vers des pays et le poète voit sa "folie" interrompue par la fin du voyage.
La jeune fille s'éloigne, alors... après un remerciement et on la voit devenir lointaine "toute petite", vision quasi-cinématographique du personnage qui disparaît, symbolisant, pour l'inconnue, l'oubli de ce moment qui reste si intense dans l'esprit et la mémoire du poète.
 
Le refrain rythmé de sonorités de labiales, dentales, et de gutturales assez fortes nous donne l'impression d'entendre la pluie qui s'égrène sur le toit du parapluie.
Le vocabulaire familier :"rescousse, frimousse, pardi", les interventions du narrateur à la première personne, une certaine auto-dérision donnent à cette chanson une allure de confidence, remplie de charmes.
On retrouve, comme souvent dans les chansons de Brassens un subtil mélange de culture et de familiarité : l'allusion à l'épisode biblique du déluge nous fait sourire...
 
La mélodie pleine de fluidité, de limpidité restitue un moment de bonheur inoubliable...

 

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13 juillet 2021 2 13 /07 /juillet /2021 05:34
Constat & réflexion

L’appât

                          Ou

Après la carotte il y a le bâton !

Une entreprise de grande séduction est lancée à travers le monde entier pour inciter les récalcitrants dubitatifs à se faire vacciner. Alors on offre des bières, on mijote des petits plats traditionnels, des paellas, on offre des œufs frais, du poulet, de la farine, des donuts, du café, de la glace plombière et autres crèmes glacées et même du cannabis…

Ailleurs ce sont des bijoux qui servent d’appâts, des tissus, une réparation automobile, des voyages, des réductions d’impôts, des promotions dans les magasins, des coupons de réduction, un mixeur ou un petit billet glissé dans la poche… Pour le moment, c’est la carotte, mais tout le monde connaît le proverbe, après la carotte, le bâton, peut-être un joli badge avec la lettre « V » ?

Souvenez-vous de la chanson de Boris Vian,

« La Complainte du progrès » :

Pour séduire on glisse à l’oreille,
Ah Gudule, viens m’embrasser
Et je te donnerai
un frigidaire, un joli scooter,
un atomixer, et du dunlopillo,
une cuisinière avec un four en verre,
des tas de couverts et des pelles à gâteaux,
une tourniquette pour faire la vinaigrette,
un bol aérateur pour bouffer les odeurs,
des draps qui chauffent, un pistolet à gaufres,
un avion pour deux,
[…] une armoire à cuillers,
un évier en fer, un poêle à mazout,
un cire-godasses, un repasse-limaces,
un ratatine-ordures, un coupe-friture,
un efface-poussière, un chauffe-savates,
un canon à patates, un éventre-tomates,
un écorche-poulet…
[…] et l’on vit comme ça jusqu’à la prochaine fois !

Ah, Gudule…

 

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4 mai 2021 2 04 /05 /mai /2021 06:41

Vous êtes -vous posé la question combien votre cerveau peut contenir de " Gigaoctets " ?

Et bien figurez-vous  que  plusieurs équipes de recherches se sont prêtées au jeu de la comparaison entre la capacité de stockage du cerveau humain et celle d’un ordinateur.

La dernière estimation en date (2016), de neurologues du Salk Institute for Biological Studies, en Californie, avance le chiffre de 1 million de gigaoctets, l’équivalent du web mondial à l’époque. Pour arriver à ce calcul, les chercheurs sont partis de l’estimation de la capacité d’une petite zone du cerveau qu’ils ont extrapolée. Ils se sont plus particulièrement intéressés aux synapses, c’est-à-dire les points de contact entre deux neurones dans lesquels sont stockées les informations.

4,7 bits pour chaque synapse

Chaque neurone peut avoir des milliers de synapses, dont la puissance varie selon leur taille. Jusqu’ici, on estimait qu’il existait trois tailles de synapse, contenant chacune 1 ou 2 bits d’information (le bit étant l’unité de mesure du stockage en informatique, qui correspond à 8 octets).

Mais, en réalité, il en existerait 26 catégories différentes, l’équivalent selon les chercheurs de 4,7 bits pour chaque synapse. Multiplié par le nombre de synapses (plusieurs trillions), cela donne le nombre faramineux de 1 pétaoctet, soit 1015 octets, un minimum selon les chercheurs. Ce qui complique le calcul, c’est que la taille des synapses change toutes les deux à vingt minutes, en fonction du signal qu’elles reçoivent.

La comparaison avec l’ordinateur a donc bien des limites, sachant, par exemple, que mémoriser 5 mots ne demande pas plus de travail que de mémoriser 5 lettres, alors que dans l’ordinateur 5 mots occupent plus de place que 5 lettres. Et que le cerveau n’a pas besoin de libérer de l’espace pour engranger de nouvelles données.

 

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6 avril 2021 2 06 /04 /avril /2021 18:05
Bon à savoir .....

Pourquoi on ne peut pas voir dans le noir ?

Un être humain est doté de cinq sens naturels que sont le toucher, l’ouïe, l’odorat, le goût et la vue. Chaque sens à des moyens spécifiques pour nous faire ressentir. Pour ce qui est de la vue par exemple, quand il y a de la lumière, nous voyons très bien, quand nos yeux sont en bonne santé bien évidemment.

Seulement, quand il fait nuit, nous ne voyons plus. Pourquoi donc ?

L’œil est composé différentes cellules dont les cellules bâtonnets et les cellules cônes. Chaque type de cellules a un rôle spécifique. Les cellules en bâtonnets par exemple nous permettent de voir la lumière ou tout ce qui se trouve éclairé. Quant aux cellules en cônes, elles nous permettent de distinguer les couleurs. Ces cellules se trouvent dans la zone de la fovéa située derrière l’œil.

Par contre, les cellules en bâtonnets prennent toute la place restante.

Quand nous sommes face à une très grande luminosité, la pupille se resserre pour que la lumière ne frappe pas notre œil. Par contre, si nous sommes dans l’obscurité, la pupille se dilate pour laisser passer le peu de lumière qu’il y a dans l’œil.

Cette petite quantité active les cellules en bâtonnets et nous arrivons à voir dans l’obscurité. Seulement, la dilatation des pupilles à ses limites. S’il n’y a donc pas assez de lumière à faire passer pour activer les cellules bâtonnets, alors on ne peut pas voir dans le noir.

 

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